LA VERITE AU THEATRE EDOUARD VII

"Quand la Vérité Divertit : Une Pièce Qui Fait Sensation"

Samedi 22 mars 2025 - 13h30

Sous un soleil radieux et un ciel bleu sans nuage, 46 amicalistes sont arrivés en avance, désireux de se saluer et de partager quelques nouvelles. Le départ est donné pour la capitale. Chacun prend place dans le bus tandis que Jean-Pierre profite de l'occasion pour rappeler le programme de la journée et ajouter des informations utiles.

De manière exceptionnelle, la circulation est moins dense que d’habitude, nous permettant d’arriver près d’une heure en avance à destination. Nous avons ainsi le temps de flâner dans ce quartier animé et chic, jalonné de boutiques de luxe, situé entre la Madeleine et l'Opéra. Certains optent pour un petit café, d'autres pour du lèche-vitrine. Tous ponctuels, nous nous retrouvons devant l'entrée du théâtre Édouard VII.

  

Bien installés dans nos fauteuils rouges, la pièce commence…

Le rideau s’ouvre sur un couple allongé dans un lit qui s’éveille. Les dialogues échangés révèlent rapidement qu'il ne s’agit pas d’un couple légitime. Vincent, le personnage principal, estime qu'il y a bien plus d’inconvénients à dire la vérité qu'à la taire. Mais connaît-il vraiment cette vérité ?

Vincent (incarné par Stéphane de Groodt) ment à tout le monde, et plutôt maladroitement : à sa femme bien sûr, à sa maîtresse – qui n’est autre que l’épouse de son meilleur ami. Menteur invétéré et peu futé, il se retrouve pris au piège de ses propres mensonges. Il feint la surprise ("Hein !!"), joue le distrait pour détourner l'attention de ses incohérences... Mais personne n'est vraiment dupe.

Face à lui, Clotilde Courau interprète son épouse, Sylvie Testud joue sa maîtresse dans un rôle à la fois léger et profond, et Stéphane Facco incarne le mari, imperturbable malgré la situation.

La pièce est rythmée, sans aucun temps mort. Pas d’abaissement de rideau : le changement de décor est orchestré avec rapidité par des techniciens vêtus de noir, casque sur la tête, accompagnés de musiques revisitées mais familières, telles que "Paroles, paroles" de Dalida, ou "Toxic."

Par des rebondissements habiles, la pièce surprend et nous guide vers le dénouement. On rit, on est captivé, et on s’interroge : toute vérité est-elle bonne à dire ?

 

À la sortie, malgré la pluie, la bonne humeur est palpable au sein du groupe. Chacun partage son ressenti et ses impressions. Une chose est certaine : nous avons passé un excellent moment, et cela nous a fait le plus grand bien !

Nous reprenons la route en direction de Bussy-Saint-Georges pour notre dîner. Le repas est copieux et le service agréable. Nous savourons cet instant, en prenant le temps d’échanger et de profiter ensemble.

Dans le bus du retour, les éclats de rire fusent, témoignant de la satisfaction générale et contribuant à cette chaleureuse ambiance. Les amicalistes expriment ainsi leur joie, et cela nous ravit.

Les nostalgiques pourront cliquer ici pour revoir une courte vidéo des moments phares de la pièce.

   

 

  

  

 A bientôt !

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